Cest le dĂ©but de l’ùre des grandes surfaces commerciales et la fin des petites Ă©piceries de quartier. C’est Ă©galement l’essor du prĂȘt-Ă -porter et la disparition des petites couturiĂšres. Les enfants du « baby boom » deviennent adolescents puis adultes, ils deviennent Ă  leur tour consommateurs
La vie quotidienne pendant les annĂ©es pop ’60 et ’70 Ce sont les trente glorieuses » plein emploi, croissance Ă©conomique, dĂ©but de la sociĂ©tĂ© de consommation. On commence Ă  voir des publicitĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©, mais il n’y a toujours qu’une chaĂźne. la mire de l'ORTF, seule chaĂźne française Les plus grandes marques se battent pour les marchĂ©s commerciaux . En 1963 , le premier magasin CARREFOUR est implantĂ© dans la rĂ©gion parisienne . C’est le dĂ©but de l’ùre des grandes surfaces commerciales et la fin des petites Ă©piceries de quartier. C’est Ă©galement l’essor du prĂȘt-Ă -porter et la disparition des petites couturiĂšres. Les enfants du baby boom » deviennent adolescents puis adultes, ils deviennent Ă  leur tour consommateurs La premiĂšre BD d’ASTERIX est créée en 1960, ainsi que la premiĂšre Ă©mission de radio qui leur est destinĂ©e Salut les copains » Ă©lectrophone Teppaz dans sa malette portable Ils Ă©coutent Ă©galement leur propre musique, le yĂ©yĂ©, et le rock. On leur invente une mode la mini jupe. On ne porte plus de bas mais des collants Ă©pais ou de grandes chaussettes ... et les bottes montent plus haut que les genoux. Les appareils Ă©lectriques se dĂ©veloppent avec l’électricitĂ© prĂ©sente dans de nombreuses habitations. La femme moderne fait du sport , fume , conduit , travaille. Depuis peu elle n’a plus besoin de l’accord de son mari pour le faire et possĂ©der un carnet de chĂšques. C’est l’explosion des arts mĂ©nager » et la multiplication des petits appareils transistor, tourne disque, robot, machine Ă  laver, aspirateur
Il ya des objets pour tout, et pas toujours trĂšs utiles on invente le gadget. Vous cherchez des cours de dessin ? affiche de Savignac pour la cocotte-minute Un Ă©norme avion voit le jour le Concorde . En 1967 , c’est l’invention de la tĂ©lĂ©vision en couleur. Peu Ă  peu, la 2e et la 3e chaines apparaissent. L’accroissement de la population, due au baby boom et Ă  la dĂ©colonisation conduit Ă  une crise du logement. Dans l’urgence,on construit de nouveaux quartiers de grands ensembles modernes et confortables, mais sans Ăąme. La guerre froide fait rage, aiguisĂ©e par la conquĂȘte spatiale. En 1969, on marche sur la lune ! Le design et la mode sont fortement influencĂ©s. scĂšne de 2001 OdyssĂ©e de l'espace de Kubrick Les jeunes se rĂ©voltent en mai 1968, entraĂźnant une modification profonde de la sociĂ©tĂ©. On dĂ©nonce la sociĂ©tĂ© de consommation, la destruction de l’environnement naturel, on prĂŽne la libĂ©ration sexuelle, la vie communautaire, la libertĂ©, on dĂ©couvre d’autres civilisations et d’autres religions, mĂȘme Ă  travers des drogues psychĂ©dĂ©liques. Pour ĂȘtre un Hippie authentique , il faut , Ă  ce moment-lĂ  , porter des pantalons Ă  pattes d’élĂ©phants », des fleurs dans les cheveux longs, s’habiller de ponchos andins, de tuniques indiennes ou de manteaux afghans et se chausser de sandales ou de clarks ... En 1973, la crise du pĂ©trole met progressivement fin Ă  cette pĂ©riode. Voir Ă©galement Andy Warhol et le pop art Le style pop psychĂ©dĂ©lique Psychose un film de Alfred Hitchcock de 1960. Marion Crane en a assez de ne pouvoir mener sa vie comme elle l'entend. Son travail ne la passionne plus, son amant ne peut l'Ă©pouser car il doit verser une Ă©norme pension alimentaire le laissant sans JournĂ©e dĂ©couverte des mĂ©tiers d'art Manifestation culturelle, Exposition, Portes ouvertesRouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac 24580Le 11/07/2021Venez dĂ©couvrir l’Atelier des CrĂ©ateurs» est une boutique dans le bourg de Rouffignac-St Cernin, situĂ© place de la MĂ©moire. Le collectif de 13 crĂ©ateurs propose des bijoux, des tableaux, des vĂȘtements customisĂ©s, des sculptures, de la cĂ©ramique et de la dĂ©coration. L'Atelier de Satori, bijoux, tableaux, objets de dĂ©coration B2c crĂ©ations dĂ©coration, tapissiĂšre en ameublement, vĂȘtements customisĂ©s B2c, mobilier, luminaires, dĂ©co, cuir repoussĂ© Artderien, bijoux et accessoires Goulj, peintre dĂ©corateur, sculptures, tableaux, mobilier Et si, crĂ©ations tissus Ă©coresponsables Alb, crĂ©ations wood art Atelier crĂ©ations nature, sculptrice sur bois Button Badger, cĂ©ramiste L'Atelier Minaka, sĂ©rigraphiste La Fabrique de Miss Red, artisan bijoutier Viviane Mercier, peintre mĂ©dium MĂ©lipĂ©lo, luminaires et crĂ©ations en calebasse Eneka crĂ©ations, bijoux et accessoires Natantia, bijoux en repercĂ©
Publiéle 09/02/2011 à 10:21, Mis à jour le 21/05/2017 à 07:26 Comme chaque année, l'Insee vient de publier le tableau de la valeur des francs en euros pour la période de 1910 à 2010. Le tableau traduit en euros actuels des valeurs exprimées en francs ou euros du passé, tout en corrigeant les effets de l' inflation .
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Pourque la vie reprenne le plus sincĂšrement possible vis-Ă -vis de l’endroit et des hommes qui l’ont façonnĂ©, il faut rĂ©ussir Ă  composer de front dans la continuitĂ©, dans la rupture et dans l’interprĂ©tation. Faire renaĂźtre un corps de ferme dont les terres ont Ă©tĂ© abandonnĂ©es Ă  la monoculture et aux bons soins de Monsanto pendant des dĂ©cennies,
l'essentiel Pour la plupart, les couvents construits dans la bastide n’ont pas survĂ©cu au mouvement rĂ©volutionnaire. C’est le cas du couvent de cordeliers devenu Haras national. D’autres ont Ă©tĂ© remplacĂ©s par l’hĂŽtel des postes ou l’ancienne mairie. Elle seule subsiste. Mais Ă  part dans les ouvrages consacrĂ©s au patrimoine Villeneuvois le terme exact d’abbaye d’Eysses n’apparaĂźt au profit de la nouvelle destination des lieux une prison. Le Villeneuve, du Moyen Âge jusqu’au XIXe siĂšcle fut une commune riche de bĂątiment cultuel, Ă©glise, chapelle, abbaye, couvent. Du couvent des cordeliers aux haras nationalUn couvent de cordeliers est fondĂ© dans le quartier Saint-Etienne, aujourd’hui on dirait rue de Bordeaux, sans doute Ă  la fin du XIIIe siĂšcle par Arnaud Darnio et Bernard de Lustrac, selon l’historien Fernand de Mazet. Mais rien ne fut facile pour les religieux puisqu’il fallut un procĂšs pour convaincre les bĂ©nĂ©dictins d’Eysses et les consuls de la ville Ă  le reconstruire aprĂšs 1450. D’aprĂšs le plan de Villeneuve en 1791 et les estimations rĂ©volutionnaires, le cloĂźtre Ă©tait fermĂ© par trois ailes de bĂątiments conventuels et par l’église au sud, dotĂ©e d’un clocher-tour surmontĂ© d’une flĂšche en ardoise. Devenu bien national Ă  la RĂ©volution, le couvent est partiellement dĂ©moli et la flĂšche est descendue en 1793. Avant 1838, le dĂ©pĂŽt d’étalons est installĂ© dans l’aile nord, seule subsistante. Suite Ă  une loi augmentant le nombre d’étalons en France, deux Ă©curies Ă  boxes 34 places sont Ă©difiĂ©es en 1875 sur les plans d’Adolphe Gilles, architecte de la ville. L’accĂšs des Ă©curies est facilitĂ© par le percement de la rue des Haras, menĂ© par J. Comte, conducteur des Ponts et ChaussĂ©es, en 1876. Un manĂšge est amĂ©nagĂ© en 1878. Les bureaux, le portail rue de Bordeaux et les logements du directeur et du directeur adjoint sont bĂątis au tournant des 19e et XXe siĂšcles. Il s’ensuivit, avant que la ville ne retrouver des prĂ©rogatives sur la propriĂ©tĂ© des lieux, un long procĂšs finalement gagnĂ© par l’administration communale. Le couvent des SƓurs de LestonnacUn couvent de religieuses, identifiĂ© par Fernand De Cassany-Mazet comme Ă©tant un couvent de clarisses, mĂ©diĂ©val, est plutĂŽt le couvent de sƓurs de Jeanne de Lestonnac ou religieuses de Notre-Dame fondĂ© Ă  Villeneuve-sur-Lot en 1 642. L’édifice est bĂąti entre la fin du 17e et le dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, puisque l’évĂȘque le trouve neuf en 1733. À la RĂ©volution, il devient bien national le tribunal, la sous-prĂ©fecture, et la mairie sont installĂ©s dans le bĂątiment principal, les prisons dans l’aile nord. Le dĂ©placement de la sous-prĂ©fecture en 1845, du tribunal en 1848 et de la prison en 1855, laisse place libre Ă  l’hĂŽtel de ville. Gustave BouriĂšres, architecte du dĂ©partement, rĂ©nove le bĂątiment l’élĂ©vation principale reçoit un dĂ©cor de style nĂ©o-classique chambranles moulurĂ©s, larmiers sur consoles, balustres, balcon.Le couvent des CapucinsLa cour, dĂ©gagĂ©e par la dĂ©molition de la prison, devient place publique, fermĂ©e sur le cĂŽtĂ© gauche par l’impressionnante construction de la Caisse d’épargne. En 1999, l’hĂŽtel de ville est dĂ©mĂ©nagĂ© dans l’école de la Croix qui allait devenir d’abord le collĂšge de jeunes filles puis la nouvelle mairie. Sur la place du 18 juin, aprĂšs deux bonnes annĂ©es de travaux, l’ancien couvent est vendu et divisĂ© en appartements de standing, avec, bien sĂ»r, vues sur le couvent de capucins est fondĂ© Ă  Villeneuve en 1619. En 1623, une maison sur la rive droite au bord du Lot est achetĂ©e Ă  Jean de Cieutat. L’édifice bĂąti peu aprĂšs comporte quatre corps de bĂątiments autour d’un cloĂźtre Ă  arcs en plein cintre la chapelle, deux ailes d’offices grenier et chai et une aile abritant rĂ©fectoire et cellules et le jardin qui s’étend jusqu’à la riviĂšre. Une chapelle latĂ©rale est ajoutĂ©e Ă  l’église du couvent par Antoine Philipart, maçon, en 1660, selon Antonio de Zappino. Le couvent devient bien national Ă  la RĂ©volution, et abrite l’administration du district et le tribunal. AprĂšs un Ă©change avec la ville, le collĂšge fondĂ© en 1 800 y est installĂ© en 1806. Les dĂ©pendances ouest sont cĂ©dĂ©es Ă  l’école des frĂšres. En 1871, l’établissement libre devient collĂšge communal ; la chapelle sert d’étude. En 1891, il est reconstruit sur les plans d’Adolphe Gilles, architecte de la ville, par Comte et Renoux, entrepreneurs villeneuvois, Henri Carles Ă©tant maire et François Drouelle principal. Il prĂ©sente un plan en U, avec le bĂątiment de l’administration sur la rue du CollĂšge, et les deux ailes de classes en retour jusqu’au Lot. Il est rĂ©quisitionnĂ© comme hĂŽpital auxiliaire pendant la guerre de 1914-1918. Il est dĂ©moli Ă  la fin des annĂ©es 1960, pour faire place au nouveau bĂątiment de la poste.
LesfĂȘtes de PĂąques arrivent en avril cette annĂ©e, et un homme, David Latimer, ne peut que se souvenir du dimanche de PĂąques de l’annĂ©e 1960.Comme en 2022, ce dimanche tombait aussi le 17 avril, et ce jour-lĂ , un homme Ă  la main trĂšs verte a dĂ©cidĂ© de planter un jardin dans une bouteille Une idĂ©e qui lui est venue par hasard alors qu’il Mise Ă  jour mai 2022 ne manquez pas le webinaire gratuit prĂ©sentĂ© par JĂ©rĂŽme Malhache le 31 mai 2022 Ă  13h00 CEST 1939-1945, parcours de prisonniers de guerre’. Pour vous inscrire Ă  ce webinaire, veuillez cliquer ici Longtemps j’ai espĂ©rĂ© retrouver la famille allemande qui avait tant marquĂ© la vie de mon grand-pĂšre. Roger Dubuc, mon grand-pĂšre maternel, je ne l’ai pas connu. Il a choisi de partir alors que je n’avais que quatre mois. Je ne me souviens pas lorsque j’entendis son histoire pour la premiĂšre fois mais trĂšs vite ce fut un mystĂšre qu’il me fallait rĂ©soudre. L’histoire commençait comme celle de nombreux autres soldats français. Roger a Ă©tĂ© capturĂ© Ă  Vannes sans avoir combattu le 22 juin 1940. Il avait 20 ans. Lorsqu’il quitta le sol français, il n’imaginait certainement pas qu’il n’allait pas revenir avant cinq longues annĂ©es. Son pĂšre LĂ©on avait Ă©tĂ© lui aussi prisonnier de guerre en Allemagne mais il Ă©tait revenu au bout de 7 mois. Le pĂšre avait Ă©tĂ© fait prisonnier Ă  la fin de la PremiĂšre guerre mondiale, le fils au dĂ©but de la Seconde. Ce que je savais est que Roger, comme des milliers avec lui, avait Ă©tĂ© envoyĂ© en Allemagne, qu’il avait travaillĂ© au service d’une famille allemande avec laquelle il avait gardĂ© un contact Ă©pistolaire toute sa vie durant. Mais de ce lien aucune lettre n’a subsistĂ© que sont-elles devenues ? Les a-t-il dĂ©truites lui-mĂȘme ?. Il reste des photos, des livres pour Ă©tudier l’allemand et l’anglais, de vieux billets de banque allemands
 Au dos des photos, l’indication du stalag, XB, et son numĂ©ro de prisonnier me permirent de commencer ma quĂȘte. Une recherche sur internet durant les derniers jours de 2003 me permit de retrouver le stalag. Par chance un centre d’études sur le camp existait. J’écrivais un e-mail demandant des renseignements sur Roger. La rĂ©ponse m’apporta une piste qui s’avĂ©ra par la suite trĂšs prĂ©cieuse. Le nom d’un village Sandstedt. Mais je laissai cette information dormir dans mes notes. Ce n’est qu’en 2012 que je repris la recherche de cette famille perdue. Dans les pages de ce blog je racontai cette quĂȘte. Ma collĂšgue allemande, Silvia que je ne remercierai jamais assez traduisit mon billet dans le blog allemand de MyHeritage. C’était en mai 2012, la rĂ©ponse qui prĂ©cipita l’épilogue de cette recherche survint en novembre 2013. Comme quoi il ne faut jamais dĂ©sespĂ©rer, mais persĂ©vĂšrer, faire preuve de patience
et avoir de la chance. Que se passa-t-il ce jour de novembre ? Karla, une utilisatrice allemande de MyHeritage qui cherchait alors des photos anciennes de Sandstedt, lut mon billet traduit en allemand dans le blog de MyHeritage et Ă©crivit en commentaire qu’elle habitait Ă  Sandstedt et qu’elle connaissait cette famille. Lorsque je reçus le message de ma collĂšgue allemande m’en informant, j’en ai eu la chair poule. Je l’ai encore lorsque j’y pense. Un second message suivit trĂšs vite avec les noms de la jeune fille de la photo et du petit garçon. AprĂšs toutes ces annĂ©es ces visages avaient un nom Hans Adolf et Elfriede. Merci Karla ! C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai renouĂ© le lien Ă©pistolaire entre Roger et Elfriede. Ma mĂšre savait que la jeune fille sur la photo avait envoyĂ© une petite robe pour sa naissance, mais elle n’avait jamais rien su d’elle. Cette correspondance dura 22 mois pendant lesquels je posai toutes les questions qui avaient longtemps trottĂ© dans ma tĂȘte. Je n’eus pas toutes les rĂ©ponses mais Elfriede qui avait alors 84 ans replongea sans hĂ©siter dans ces lointaines annĂ©es de sa jeunesse pour ranimer le souvenir de Roger. Dans cette famille qui perdit au front en fĂ©vrier 1945 un fils de 19 ans Heinz, le frĂšre aĂźnĂ© d’Elfriede, Roger le prisonnier français, Ă©tait considĂ©rĂ© comme un fils. Elfriede me raconta ce que j’avais entendu de lui car il l’avait Ă©voquĂ© lui-mĂȘme il avait aimĂ© se baigner dans la Weser, y pĂȘcher aussi. Il aimait les neukuchen, ces cigarettes russes, qui Ă©taient prĂ©parĂ©es pour le nouvel an. Il apprit l’allemand qu’il finit par parler parfaitement. En juillet 2015, cinq semaines aprĂšs avoir accouchĂ© quelle folie pensais-je alors, il est vrai que je ne me sentais pas encore tout Ă  fait remise de l’accouchement et mes nuits Ă©taient longues et plutĂŽt blanches, c’est avec ma mĂšre et mon bĂ©bĂ© que nous partĂźmes sur les traces de Roger. Sa fille, sa petite-fille et une arriĂšre-petite-fille allaient dĂ©couvrir ce pan de sa vie qui fut si important pour lui. MalgrĂ© le fait que j’avais entretenu une correspondance chaleureuse avec Elfriede, nous Ă©tions ma mĂšre et moi un peu inquiĂštes. Comment allait-on ĂȘtre accueillies par la famille ? OĂč nous allions du reste passer une semaine entiĂšre. L’accueil fut au-delĂ  de nos espĂ©rances. La premiĂšre bonne surprise Ă  notre arrivĂ©e Ă  l’aeroport de BrĂȘme fut de voir que Dieter, le fils d’Elfriede, Ă©tait venu nous chercher avec son camping-car. Et moi qui m’inquiĂ©tais me demandant si sa voiture Ă©tait assez grande pour contenir nos valises et la poussette de bĂ©bĂ© Gabrielle ! Nous avons tout simplement Ă©tĂ© accueillies Ă  bras ouverts et chouchoutĂ©es Ă  chaque instant par Dieter et Maria, sa femme. Une semaine inoubliable pendant laquelle nous avons parcouru les endroits oĂč Roger a vĂ©cu pendant la guerre. Sandstedt est un charmant petit village situĂ© en Basse-Saxonie, Ă  presque 40 kilomĂštres de BrĂȘme. J’étais presque déçue de ne pas dĂ©couvrir un cousin allemand. Mais comme me le dit Elfriede, il aurait Ă©tĂ© trĂšs dangereux pour un prisonnier allemand d’avoir une relation avec une allemande. Tant pis, j’aurais pourtant bien aimĂ© ajouter une branche allemande Ă  mon arbre gĂ©nĂ©alogique. Dans ma famille on racontait qu’il en pinçait dur pour Elfriede. Elle a Ă©ludĂ© ma question Ă  chaque fois que je l’ai posĂ©e. Un moment fort de notre visite fut une grande surprise pour ma mĂšre et moi. Un voisin, Johan, arriva pour porter un journal. On lui expliqua qui nous Ă©tions. Il en resta d’abord bouche bĂ©e, transportĂ© dans le passĂ©. Puis il nous raconta c’était le 11 septembre 1942. Il avait 11 ans. Il travaillait dans un champ lorsqu’un accident survint qui lui sectionna presque complĂštement le mollet. C’est Roger qui le sauva, nous dit-il, en intervenant promptement. C’était notre tour de rester sans voix. Il nous embrassa ma mĂšre et moi avec une joie Ă©merveillĂ©e. Bien sĂ»r il nous montra aussi la trĂšs vilaine cicatrice qui orne son mollet. Bien sĂ»r nous nous sommes rendus Ă  Sandbostel, Ă  une soixantaine de kilomĂštres de Sandstedt. J’ignore combien de temps Roger a passĂ© dans ce camp, avant d’ĂȘtre envoyĂ© dans une ferme Ă  Sandstedt. Ce qui est certain, c’est qu’il eĂ»t de la chance de ne pas rester trop longtemps dans ce lieu qui fut fatal pour beaucoup. La visite fut trĂšs Ă©mouvante ; il est vrai que d’arpenter les allĂ©es du camp en poussant la poussette de ma fille ajoutait Ă  l’émotion. Violente aussi pour ma mĂšre qui ne s’attendait pas Ă  ce qu’elle dĂ©couvrit des milliers de prisonniers y moururent, de faim, de maladie ou tout simplement tuĂ©s par leurs geĂŽliers allemands. Nous avons Ă©tĂ© accueillis chaleureusement par Andreas Ehresmann, le directeur du MĂ©morial du camp de Sandbostel, Ă  qui j’avais annoncĂ© notre visite. Nous sommes restĂ©s Ă  Sandstedt une semaine, du 3 au 10 juillet 2015. Pour boucler une autre boucle, Dieter et Maria sont arrivĂ©s hier soir, 2 juillet 2016, dans ma ville natale et celle de mon grand-pĂšre et de ma mĂšre. Nous n’avons peut-ĂȘtre pas le mĂȘme sang qui coule dans nos veines, mais le sentiment est lĂ  quand mĂȘme c’est ma famille allemande. Je voudrais remercier ici Silvia, ma collĂšgue allemande qui non seulement a traduit mon billet en allemand mais a Ă©galement servi d’interprĂšte pendant deux ans et facilitĂ© ma correspondance avec Elfriede. Cherchez vos ancĂȘtres soldats sur MyHeritage dans les listes des prisonniers de guerre de la Seconde Guerre mondiale Outrele fait d'avoir commencĂ© Ă  travailler avant 20 ans, des conditions supplĂ©mentaires sont nĂ©cessaires pour pouvoir bĂ©nĂ©ficier du dispositif de dĂ©part anticipĂ© pour carriĂšre longue. Vous devez avoir validĂ© au moins 5 trimestres (rĂ©duits Ă  4 si vous ĂȘtes nĂ© dans les 3 derniers mois de l'annĂ©e) avant vos 20 ans (ou vos 16 ans ï»żCrĂ©dit photo Les fĂȘtes de PĂąques arrivent en avril cette annĂ©e, et un homme, David Latimer, ne peut que se souvenir du dimanche de PĂąques de l’annĂ©e 1960. Comme en 2022, ce dimanche tombait aussi le 17 avril, et ce jour-lĂ , un homme Ă  la main trĂšs verte a dĂ©cidĂ© de planter un jardin dans une bouteille
 Une idĂ©e qui lui est venue par hasard alors qu’il disposait d’une Ă©norme bouteille dont il n’avait pas l’utilitĂ©; il s’est dit qu’il allait tenter l’expĂ©rience d’en faire un jardin ! Il ne devait pas s’attendre Ă  ce que celui-ci devienne mondialement connu. Le jardin dans la bouteille de David Latimer n’a pas Ă©tĂ© arrosĂ© depuis 1972, et pourtant, il est magnifique ! plante peut rĂ©sister Ă  l’enfermement ? David Latimer a plantĂ© dans sa bouteille quelques graines de tradescantia, que nous appelons aussi “misĂšre”. Ces plantes sont connues pour ĂȘtre trĂšs robustes, et pour se multiplier comme par magie, ou presque. La misĂšre est une plante un peu envahissante, et le fait d’ĂȘtre enfermĂ©e dans une bouteille ne l’empĂȘche absolument pas de pousser, la preuve ! Pendant les douze premiĂšres annĂ©es, l’homme a arrosĂ© ses plantations, et en 1972, il a dĂ©cidĂ© de sceller hermĂ©tiquement sa bouteille. Et en privant la plante d’oxygĂšne, elle aurait pu tout simplement mourir. Mais pas du tout ! Au contraire, Mr Latimer a juste tournĂ© mĂ©thodiquement sa bouteille afin de l’exposer Ă  la lumiĂšre du soleil pour qu’elle se dĂ©veloppe uniformĂ©ment dans la bouteille. Il explique ne l’avoir jamais taillĂ©e et l’avoir laissĂ©e Ă©voluer comme bon lui semblait avec comme seule barriĂšre, les parois de la bouteille. Image d’illustration. CrĂ©dit photo Mais comment est-ce possible ? Normalement, une plante a besoin d’air, d’eau, de lumiĂšre. Mais il semblerait que cette misĂšre ait pu dĂ©velopper son propre microsystĂšme Ă  l’intĂ©rieur de la bouteille. En absorbant la lumiĂšre du soleil, elle a pu provoquer l’humiditĂ© dont elle avait besoin, et surtout la convertir en Ă©nergie. Ce cycle bien connu s’appelle la photosynthĂšse. ConcrĂštement, l’espace Ă©tanche crĂ©e un Ă©cosystĂšme autonome dans lequel la plante utilise la photosynthĂšse pour se fournir en Ă©lĂ©ments nutritifs qu’elle utilise, puis recycle. Avec la seule lumiĂšre du soleil, la plante peut donc survivre car elle lui fournit l’énergie nĂ©cessaire Ă  la crĂ©ation de ses propres nutriments. Quant Ă  l’eau, la plante a Ă©galement dĂ©veloppĂ© un systĂšme autonome l’humiditĂ© qui se crĂ©e dans la bouteille est absorbĂ©e par les racines, puis libĂ©rĂ©e lorsque la plante transpire. GrĂące aux parois de verre, elle redescend vers les racines, qui peuvent ainsi ĂȘtre Ă  nouveau irriguĂ©es. Quant aux feuilles qui tombent de la plante, elles forment un humus que la plante rĂ©utilise pour se nourrir. Image d’illustration. CrĂ©dit photo Comment rĂ©aliser votre jardin dans une bouteille ? Il faudra d’abord choisir un rĂ©cipient en verre de grande contenance, avec un col large pour accĂ©der facilement Ă  l’intĂ©rieur. Un grand bocal de lĂ©gumes ou de moutarde sera parfait pour dĂ©buter l’expĂ©rience. Au fond du pot, il faudra ajouter du terreau de rempotage par exemple, et du gravier pour le drainage. Enfin, une couche de compost sera la bienvenue, toujours pour nourrir votre plante. Quant aux variĂ©tĂ©s, vous pouvez choisir de la misĂšre comme David Latimer, mais Ă©galement des fougĂšres, des helxines ou encore des urticaceae. La plupart sont des plantes herbacĂ©es qui n’ont pas besoin de soins particuliers. Vous n’aurez plus qu’à arroser en Ă©vitant les feuilles, et placez votre pot Ă  la lumiĂšre du jour, mais en Ă©vitant le plein soleil. Rendez-vous dans soixante ans pour nous faire dĂ©couvrir votre jardin dans une bouteille peut-ĂȘtre ? Mes sujets de prĂ©dilection sont l'Ă©cologie, l'environnement, les innovations solidaires et les actualitĂ©s en gĂ©nĂ©ral. J'espĂšre que vous prendrez plaisir Ă  me lire. Ma devise "Carpe Diem" parce que la vie est trop courte et qu'il faut en savourer chaque instant. ScĂšnesde la vie rurale Quiralu est une entreprise française de jouets fondĂ©e en 1932 par Émile Quirin qui dirigeait alors une fonderie d’art familiale Ă  Luxeuil (70), créée en 1889. DĂ©nommĂ©e Quirin et Cie, l’établissement travaillait le laiton, le bronze et le maillechort, et produisait des articles d’ornement, de lustrerie et de quincaillerie pour l’industrie ScĂšnes de la vie rurale Quiralu est une entreprise française de jouets fondĂ©e en 1932 par Émile Quirin qui dirigeait alors une fonderie d’art familiale Ă  Luxeuil 70, créée en 1889. DĂ©nommĂ©e Quirin et Cie, l’établissement travaillait le laiton, le bronze et le maillechort, et produisait des articles d’ornement, de lustrerie et de quincaillerie pour l’industrie Ă©lectrique, mĂ©canique et ferroviaire. En 1924, Émile Quirin s’installe dans les bĂątiments d’une fabrique de broderie qui avait fermĂ© ses portes en 1914. En 1933, la sociĂ©tĂ© se lance dans la fabrication des figurines en aluminium, dites “incassables”, sous la marque Quiralu, contraction de Quirin et aluminium. Il s’agit surtout de figurines militaires. En 1941, Hubert Desgranges succĂšde Ă  son beau-pĂšre, Émile Quirin. Il sera remplacĂ© en 1948 par son fils, Bernard. Nouvelle production en zamak Dans les annĂ©es 1950, la guerre de CorĂ©e entraĂźne une pĂ©nurie de matiĂšres premiĂšres et l’avĂšnement du plastique met la sociĂ©tĂ© en pĂ©ril. Elle adopte alors un nouveau matĂ©riau, le zamak, tout en continuant d’utiliser ses anciens moules. Mais les enfants boudent les sujets militaires
 Quiralu rĂ©agit alors, en 1955, en fabriquant des autos miniatures en zamak Ă  une Ă©chelle proche du 1/43. Bien que ses productions soient d’excellente qualitĂ©, Quiralu ne rĂ©sistera pas Ă  la concurrence de Dinky Toys ou Solido et cessera son activitĂ© en 1964. Illustration de la paysannerie Quiralu est surtout connu pour ses figurines militaires. Mais l’entreprise a produit aussi d’autres sujets, tels que des cow-boys et des Indiens, des sujets religieux comme l’AnnĂ©e sainte, ou civils comme des personnages de ferme. Avant les annĂ©es 1960, la France est essentiellement une nation agricole. La richesse est surtout terrienne, ce qui explique, en matiĂšre d’Art pictural, le succĂšs du peintre Jean François Millet et de l’École de Barbizon ou de Rosa Bonheur. Pratiquement tous les Français ont une origine rurale, d’oĂč le succĂšs des jouets exploitant le thĂšme de la ferme. PrĂšs de la fontaine et sous le colombier, la fermiĂšre nourrit la basse-cour. La ferme prĂ©sentĂ©e ici, avec ses 70 sujets, est quasi complĂšte. On peut la dater vraisemblablement entre 1935 et 1950. Il ne manque que quelques rares instruments agricoles comme une herse, une charrue ou une faneuse par exemple. Ces figurines sont en excellent Ă©tat avec leur peinture d’origine. Elles sont en alliage d’aluminium et font 6 cm de hauteur. Je les prĂ©sente dans un dĂ©cor constituĂ© par des reproductions du peintre Millet. Le berger garde ses moutons et ses chĂšvres. La fille de ferme nourrit les dindons tandis que le chien monte la garde devant sa niche. La laitiĂšre se prĂ©pare Ă  traire ses vaches qui paissent tranquillement dans le prĂ©. Les seaux de lait qu’elle transporte sont suspendus Ă  un porte-seaux en bois calĂ© en travers de ses Ă©paules. Dans les champs, au-delĂ  des barriĂšres, se promĂšnent des faisans, gibier bien tentant ! Perrette pleure son pot au lait cassĂ©. Le garçon de ferme saura-t-il la consoler ? Pour mettre en scĂšne ces personnages de ferme, Quiralu a construit des petites fermes en bois pleines de charme. Il est assez rare de trouver comme ici une ferme presque complĂšte, les diffĂ©rents sujets ayant souvent Ă©tĂ© dispersĂ©s. Le plus souvent la ferme est reconstituĂ©e par le collectionneur qui achĂšte au hasard de ses dĂ©couvertes. Estimation Les personnages coĂ»teront en gĂ©nĂ©ral autour de 10 € piĂšce. Les vaches, les moutons se trouvent pour une dizaine d’euros ; les poules, les oies, les lapins pour 3 Ă  6 € ; les dindons pour 5 Ă  6 € ; pour la charrette en bon Ă©tat, compter 120 €. Claude Lamboley Collectionneur de jouets anciens. Biblio Les Jouets Quiralu 1933-1964, de R. Azalet, J. Borsarello et H. Giroud, Editions Grancher, 1995.
Retrouveznos infos et notre programmation actualisées en consultant ce site ou la page Facebook des sites et musées de la Manche. La vie à la ferme comme si vous y étiez Le pays du Plain est, depuis la fin du XVIIe siÚcle, un pays d'élevage, celui de la race bovine Normande. La ferme-musée du Cotentin témoigne de cette histoire. Dans cette
Un carnet pour refaire le chemin vers 1938 C’est un autre type de carnet qui m’a Ă©tĂ© confiĂ© dont je vous ai proposĂ© des extraits il y quelques semaines voir dans ce nouveau post. Il nous ramĂšne en amont de la pĂ©riode que nous avons l’habitude de traiter ici puisqu’il date des annĂ©es 30. Nous nous arrĂȘterons aujourd’hui sur l’annĂ©e 1938 qui se tient sur 3 pages. Il est tenu par Germain FaurĂ©. L'Ă©crit est un peu plus bref que les carnets d’Emile - chacun crĂ©ait son outil de travail, outil de mĂ©moire en fonction de son besoin et de ses habitudes - mais d’autres dĂ©tails y figurent sur lesquels il est intĂ©ressant de se pencher. Tous les jours de l’annĂ©e n’y sont pas traitĂ©s, la mĂ©tĂ©o n’y est pas non plus Ă©voquĂ©e. Il sert beaucoup d'aide mĂ©moire. On y trouve ainsi les mentions des boeufs et des chevaux lorsqu'ils sont ferrĂ©s, les rĂ©glages du semoir. D'autre part, on y trouve aussi l'adresse de professionnels Ă©lectriciens, vendeurs de porcs... Parmi les Ă©vĂ©nements de l'annĂ©e, le creusement et la construction d'un puits sont mentionnĂ©s. Les quantitĂ©s de maĂŻs ainsi que les surfaces dĂ©diĂ©es au fourrage pour la graine sont renseignĂ©es. Enfin comme en 1936, sont notĂ©s tous ceux qui sont venus aider pour les battages notamment. En quelques lignes est ainsi brossĂ© le bilan d'activitĂ© d'une annĂ©e Ă  la ferme. Nous reviendrons prochainement sur les cahiers de Germain FaurĂ© pour y dĂ©couvrir d'autres dĂ©tails. Je remercie sincĂšrement Paul Escrieut de me les avoir confiĂ©s pour les partager avec vous. Ce post fait partie de la sĂ©rie sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelĂ© dans ce post-ci Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois cliquer dessus Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catĂ©gorie du blog Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront Ă©galement Ă©crits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.
Lassociation Culture et Patrimoine a inaugurĂ© lundi soir dans la salle de la mairie d’Esquibien une exposition de photos des annĂ©es 1950-1960 reprĂ©sentant Esquibien et Audierne. « Ce sont
28 sept. DrĂŽle
 d’Oisseau que cette petite commune de 1100 habitants de la Mayenne qui avait proposĂ© de nous accueillir Ă  la Maison de retraite. RĂ©sidents de la maison de retraite d’à cĂŽtĂ©, bĂ©nĂ©voles de la bibliothĂšque, reprĂ©sentants de la bibliothĂšque du bocage
... Lire la suite 18 mai Disons le tout net, nous aurions aimĂ© avoir davantage d’auditeurs Ă  la petite soirĂ©e que la mĂ©diathĂšque de Missiriac, une commune de 1500 habitants, distante de 5 km de Malestroit, notre commune natale du Morbihan. A quoi faut-il attribuer la petite assistance... Lire la suite 8 mars "Rougir d'ĂȘtre paysan" Ă©tait prĂ©sent au Salon de l'Agriculture. Membres de l'association des Ecrivains et Artistes Paysans, nous avons bĂ©nĂ©ficiĂ© de la prĂ©sence de son stand au Salon pour participer Ă  son animation et reprĂ©senter les auteurs membres, le... Lire la suite 3 mars Vendredi 6 fĂ©vrier, la Maison de quartier du Ronceray, centre socio culturel de la Poterie Ă  Rennes, nous accueillait pour confĂ©rence-causerie publique. Une trentaine d'auditeurs avaient fait le dĂ©placement toutes et tous aujourd'hui citadins/nes mais... Lire la suite 25 fĂ©vr. PlongĂ©e dans le monde agricole, ce dernier week-end de fĂ©vrier. Nous exposons et dĂ©dicaçons "Rougir d'ĂȘtre paysan" au Salon de l'Agriculture, Porte de Versailles, Ă  Paris, vendredi 27-02 aprĂšs-midi, samedi et dimanche, au stand de l'association Ecrviains... Lire la suite 24 fĂ©vr. CETTE CONTRIBUTION A ETE MISE EN LIGNE A LA FIN DE 2008. Un ami nivernais, natif de Crux-la-Ville, un village situĂ© Ă  15 km de Chitry-les-Mines, bourg que les parents de Jules Renard ont rejoint depuis la Mayenne, lorsque le futur Ă©crivain avait deux... Lire la suite 12 dĂ©c. Nous avons Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  faire figurer "Rougir d'ĂȘtre paysan" parmi les ouvrages du 9e Salon du Roman populaire d'Elven, le 7 dĂ©cembre 2008. Le jury a Ă©lu laurĂ©at du Prix du roman populaire 2008 Didier Cornaille pour son rĂ©cit "Le vent des libertĂ©s soulevait... Lire la suite 12 dĂ©c. Les Bretons du milieu rural sont des taiseux mais des gens forts en Ă©motion ». J’en ai connu des gens comme votre papa dans le livre ! PlutĂŽt que de dire ses Ă©motions, on prĂ©fĂšre ravaler ses sentiments
 », racontait Paule, une bretonne d’adoption,... Lire la suite 12 dĂ©c. Ceux qui pensent que les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer sont en dehors du monde qui les entourent n’ont sans doute pas vĂ©cu suffisamment aux cĂŽtĂ©s de ces personnes. TantĂŽt dans un autre monde, tantĂŽt lĂ , prĂ©sentes, elles ont la particularitĂ©... Lire la suite 1 dĂ©c. Ce soir lĂ , ils n’étaient que dix mais quel plaisir de partager avec les membres de PĂȘle MĂȘle ! Ce groupe de rĂ©flexion vannetais s’était retrouvĂ©, comme chaque semaine, pour aborder tout sujet qui mĂ©rite rĂ©flexion et dĂ©bat. Jean avait invitĂ© Michel Ă ... Lire la suite ZHKXv.
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